Loin d’être uni, le vestiaire parisien se diviserait en quatre clans entre Brésiliens, Hispaniques et autres…

Le 26e anniversaire de Neymar, fêté en grandes pompes à huit jours du match aller face au Real Madrid, aura été l’une des rares occasions où l’effectif est apparu soudé. « C’était important que toute l’équipe soit ensemble, avait d’ailleurs assuré Unai Emery au surlendemain de la fiesta organisée en l’honneur du Brésilien. C’est bon pour l’esprit collectif. » Pour le reste, malgré les succès qui se sont accumulés jusqu’à la sortie de route face au Real Madrid dès les huitièmes de finale de la Ligue des champions, ce sont plus des dissensions qui ont marqué l’actualité du vestiaire parisien, notamment après l’affaire du penalty face à Lyon.

Pour Dani Alves, l’échec face aux Merengue est d’ailleurs dû pour partie à un manque de liant. « Le PSG traverse aujourd’hui une phase de transition, il n’y a pas cette alchimie et ça finit par se refléter sur le terrain », a-t-il ainsi indiqué en début de semaine du haut de sa très grande expérience. Rarement au cours de sa carrière, si ce n’est en sélection, le défenseur brésilien avait été dans un vestiaire aussi divisé. A en croire O Globo, le vestiaire parisien serait en effet divisé en quatre clans.

Verratti apprécié de tous

L’ancien Barcelonais ne serait d’ailleurs pas pour rien dans la constitution d’un clan brésilien, avec ses compatriotes Neymar, Marquinhos et Thiago Silva, mais également Kevin Trapp, lui-même en couple avec une Brésilienne, la modèle Izabel Goulart. C’est d’ailleurs en compagnie du gardien allemand que Dani Alves et Neymar ont assisté à certains défilés au début de l’hiver. Face à ce quintet do Brasil, les Hispaniques se sont resserrés autour d’Edinson Cavani après le Penaltygate, Yuri Berchiche et les Argentins Angel Di Maria, Javier Pastore et Giovanni Lo Celso ayant fait corps aux côtés de l’Uruguayen.

Autre clan, celui constitué par les Français avec notamment Layvin Kurzawa, Kylian Mbappé, Adrien Rabiot, Presnel Kimpembé ou Alphonse Aréola. Enfin, certains joueurs évoluent en marge de ces clans. C’est notamment le cas de Thiago Motta, particulièrement respecté dans le vestiaire ou de Julian Draxler. Mais également de Marco Verratti qui communique en espagnol ou en français, comprend également le portugais et a la particularité de bien s’entendre avec tout le monde. Ce qui n’est pas le cas de tous les Parisiens…

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