«Seul Dieu a la possibilité de faire ou de défaire. Je rends grâce au Tout-Puissant, Allah, qu’il nous ait donné cette victoire sur Sa Thiès. Par contre, je n’avais aucune crainte sur le combat entre Boy Niang et Sa Thiès. Je connais mon fils. Je sais ce, dont il est capable. Il a bossé dur. C’est pourquoi, en allant au stade Léopold Sedar Senghor, je lui ai dit d’aller terrasser Sa Thiès et me revenir sain et sauf. Et ajouter qu’il ne peut qu’avoir que la victoire.
Boy Niang est un enfant respectueux des valeurs. Il vit pour sa famille, son père et moi et son entourage. C’est un homme qui sait ce qu’il veut. Il n’a pas de temps pour des futilités ou errer dans les rues, s’amuser… Tout son temps, il le consacre à ses entrainements, afin d’avancer dans ce qu’il fait. Il est, tout le temps, présent pour sa famille, alors qu’il pouvait partir chercher un appartement, vivre seul dans son coin, comme le font la plupart des jeunes. Mais non. Ses parents restent ses préoccupations».